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Comment réaliser un suivi de traitement d'un hypercorticisme chez le chien au laboratoire VET'ANALYS à Hyères.
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Comment réaliser un suivi de traitement d'un hypercorticisme chez le chien au laboratoire VET'ANALYS à Hyères.
Disposant d'une AMM dans cette indication ainsi que d'une efficacité clinique démontrée, le trilostane apparaît aujourd'hui comme le traitement médical de choix de la maladie de cushing chez le chien. Pour réaliser dans de meilleures conditions vos suivis de traitement, le laboratoire VET'ANALYS à Hyères 83 vous conseille la démarche suivante.
L'interprétation des tests dynamiques lors de suivi de traitement ne peut se faire sans évaluation clinique. La PUPD est souvent le premier signe à rétrocéder (souvent dans les 10 jours). L'amélioration de la polyphagie est variable alors que les autres signes cliniques notamment dermatologiques peuvent disparaître sous plus de 6 mois.
L'observance du traitement doit être contrôlé avec notamment l'administration de la gélule au moment du repas.
Le premier suivi de traitement peut de faire à 10 jours après son initiation par la réalisation d'un test de stimulation de la cortisolémie à l'ACTH (synactène ND immédiat) et entre 2 et 3 heures après la prise de la gélule.
En résumé, après 10 jours d'administration d'une dose initiale de trilostane (entre 2 et 5mg/Kg/J), un premier test de stimulation à l'ACTH est réalisé.
Si l'amélioration clinique est satisfaisante et que la cortisolémie à t+1h ou 1h30 selon les protocoles est comprise entre 50 et 150 nmol/L, le patient sera réévalué à 4 semaines, puis 12 semaines et enfin tous les 3 mois.
SI l'amélioration clinique est satisfaisante mais que la cortisolémie à t+1h ou 1h30 selon les protocoles est supérieure à 150 nmol/L, le traitement sera poursuivi à la même dose en surveillant attentivement la résolution des signes cliniques.
En l'absence d'amélioration clinique mais que cortisolémie à t+1h ou 1h30 selon les protocoles est comprise entre 50 et 150 nmol/L, on peut poursuivre le même traitement sur 1 mois avant de faire une nouvelle exploration dynamique ou envisager de passer à deux administration par jour.
En l'absence d'amélioration clinique et que cortisolémie à t+1h ou 1h30 selon les protocoles est supérieure à 150 nmol/L, il convient d'augmenter la dose de 25%.
Enfin, en cas de signes cliniques d'hypocorticisme (abattement, vomissement) ou biologique (cortisolémie basale et post stimulation effondrée) , le traitement doit être stoppé, la fonction rénale et le ionogramme doivent être bilanté.
Souvent immunodéprimé, l'infection du tractus urinaire est une complication fréquente de la maladie de cushing et la réalisation régulière de CBU est vivement conseillé même en l'absence de leucocyturie.
N’hésitez pas à télécharger notre formulaire de demande d'analyses et à consulter nos autres fiches spécifiques. Vous pouvez aussi nous contacter par téléphone ou par mail au laboratoire Vet’Analys à Hyères pour connaître les délais de rendu de résultat, le prix d'un suivi de traitement d'un hypercorticisme chez le chien, si le matériel choisi est compatible avec un envoi postale ou si notre service de course serait le mieux adapté.
L'interprétation des tests dynamiques lors de suivi de traitement ne peut se faire sans évaluation clinique. La PUPD est souvent le premier signe à rétrocéder (souvent dans les 10 jours). L'amélioration de la polyphagie est variable alors que les autres signes cliniques notamment dermatologiques peuvent disparaître sous plus de 6 mois.
L'observance du traitement doit être contrôlé avec notamment l'administration de la gélule au moment du repas.
Le premier suivi de traitement peut de faire à 10 jours après son initiation par la réalisation d'un test de stimulation de la cortisolémie à l'ACTH (synactène ND immédiat) et entre 2 et 3 heures après la prise de la gélule.
En résumé, après 10 jours d'administration d'une dose initiale de trilostane (entre 2 et 5mg/Kg/J), un premier test de stimulation à l'ACTH est réalisé.
Si l'amélioration clinique est satisfaisante et que la cortisolémie à t+1h ou 1h30 selon les protocoles est comprise entre 50 et 150 nmol/L, le patient sera réévalué à 4 semaines, puis 12 semaines et enfin tous les 3 mois.
SI l'amélioration clinique est satisfaisante mais que la cortisolémie à t+1h ou 1h30 selon les protocoles est supérieure à 150 nmol/L, le traitement sera poursuivi à la même dose en surveillant attentivement la résolution des signes cliniques.
En l'absence d'amélioration clinique mais que cortisolémie à t+1h ou 1h30 selon les protocoles est comprise entre 50 et 150 nmol/L, on peut poursuivre le même traitement sur 1 mois avant de faire une nouvelle exploration dynamique ou envisager de passer à deux administration par jour.
En l'absence d'amélioration clinique et que cortisolémie à t+1h ou 1h30 selon les protocoles est supérieure à 150 nmol/L, il convient d'augmenter la dose de 25%.
Enfin, en cas de signes cliniques d'hypocorticisme (abattement, vomissement) ou biologique (cortisolémie basale et post stimulation effondrée) , le traitement doit être stoppé, la fonction rénale et le ionogramme doivent être bilanté.
Souvent immunodéprimé, l'infection du tractus urinaire est une complication fréquente de la maladie de cushing et la réalisation régulière de CBU est vivement conseillé même en l'absence de leucocyturie.
N’hésitez pas à télécharger notre formulaire de demande d'analyses et à consulter nos autres fiches spécifiques. Vous pouvez aussi nous contacter par téléphone ou par mail au laboratoire Vet’Analys à Hyères pour connaître les délais de rendu de résultat, le prix d'un suivi de traitement d'un hypercorticisme chez le chien, si le matériel choisi est compatible avec un envoi postale ou si notre service de course serait le mieux adapté.